«question quasi existentielle»


le Royaume «fait un pas décisif vers son ambition de devenir une destination incontournable pour les investissements»,

les pays présents sur la liste grise accusent un manque à gagner de 7,6% du PIB en moyenne pour les entrées de capitaux et de 3% du PIB pour les IDE. «Cela représente tout de même près de 100 milliards de dirhams»,

la sortie du Maroc de cette liste grise devrait impacter positivement la notation de sa dette souveraine et lui permettre d’emprunter des devises dans des conditions optimales.

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