Par Zin Chai.

Bruxelles a vibré ce dimanche au rythme des pédales. Pour sa 9e édition, le BXL Tour a rassemblé plus de 6000 cyclistes, amateurs et confirmés, sur un parcours de 40 kilomètres traversant la capitale et sa périphérie. Un moment festif, populaire, mais aussi porteur d’un message fort.

Au-delà de la performance sportive, c’est l’esprit de liberté, de respect, de discipline, de solidarité et de paix qui a marqué les esprits. Des valeurs universelles que beaucoup ont souhaité mettre en avant dans un monde secoué par les tensions et les injustices.
Parmi les participants, Hassan Rahali, figure politique et associative belge, n’a pas caché son émotion :
« Le vélo unit les gens. Il n’a pas de frontière, pas de barrière. Aujourd’hui, c’était un moment magique de partage, mais aussi une occasion de faire passer un message fort », a-t-il déclaré.
Un événement sportif aux couleurs de la Palestine
Dans les rangs des cyclistes, de nombreux participants ont affiché leur solidarité avec le peuple palestinien. Drapeaux, brassards, slogans : des symboles visibles qui ont rappelé que le sport peut aussi être une plateforme d’engagement citoyen.

« Aujourd’hui, le monde se mobilise pour la Palestine », souligne Hassan Rahali. « Il est important que chacun, à son niveau, prenne position. Le cyclisme, sport de liberté, peut aussi être une forme de résistance pacifique. »
Alors que les conflits perdurent à Gaza et ailleurs, cette édition du BXL Tour a été l’occasion pour beaucoup d’exprimer leur espoir d’un monde plus juste.

Un message d’unité
Le BXL Tour 2025 s’impose donc comme bien plus qu’un simple rendez-vous sportif. Il devient un symbole d’unité et de conscience collective, où la passion du vélo rime avec engagement, paix et solidarité.

Par Zin Chai.