Un appel est lancé aux employés qui ont démissionné ou été congédiés : envisagez-vous de créer des groupes Facebook tels que “les anciens de l’entreprise ABC” ou “les congédiés de l’entreprise XYZ”? L’objectif serait de rassembler ces personnes pour comprendre combien ont quitté leur emploi et pour quelles raisons. Souvent, plusieurs employés se plaignent des mêmes conditions de travail avant d’être licenciés ou de démissionner, mais l’entreprise prétend que ces problèmes ne concernent qu’une seule personne. En se regroupant, les travailleurs pourraient envisager de recourir à des avocats pour faire valoir leurs droits
À l’instar des syndicats au sein des entreprises, la création de ces groupes pourrait servir de contrepoids, offrant un équilibre entre les employés, les syndicats et les employeurs pour protéger les droits des travailleurs. Il est également question de savoir si le rôle des syndicats est vraiment avantageux lorsque les primes et les augmentations de salaire sont minimes, contrairement à ce que l’on observe dans les entreprises non syndiquées
Un appel est également lancé aux journalistes pour enquêter sur ce phénomène de démissions et de licenciements dans les entreprises syndiquées et non syndiquées. Il est nécessaire de comprendre les conditions de travail, l’inefficacité ou le manque de responsabilité des gestionnaires, ainsi que l’augmentation de l’itinérance et de la pauvreté dans la société
Les réseaux sociaux pourraient ainsi devenir un outil crucial pour aider les travailleurs à revendiquer leurs droits et à lutter contre l’injustice, en rassemblant les personnes concernées pour faire face financièrement aux abus. La question se pose alors : les gestionnaires sont-ils en partie responsables de la pauvreté et de l’itinérance, et le gouvernement joue-t-il un rôle suffisant pour contrôler ces entreprises