
À la veille de l’adoption de la prochaine résolution du Conseil de sécurité, le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, met en avant dans son rapport la constance de la position marocaine, fondée sur le réalisme et l’esprit de compromis. Soutenu par son Envoyé personnel, Staffan de Mistura, ce document met en avant l’Initiative marocaine d’autonomie comme la voie la plus crédible et la plus sérieuse pour une solution politique durable au différend autour du Sahara, dans un contexte de soutien international sans précédent à la marocanité du territoire.
Antonio Guterres a également évoqué les résultats du recensement conduit par les autorités marocaines en septembre 2024, et qui fait ressortir une augmentation importante de la population vivant dans les Provinces du Sud du Royaume, passant de 450.000 à 600.000 habitants, par rapport à 2014. Cette indication, forte en sens, est révélatrice de l’attractivité et de la qualité de vie dans ces Provinces marocaines, qui favorisent l’installation d’un plus grand nombre de personnes, de même que l’augmentation du taux de natalité.
Le SG de l’ONU n’a pas manqué de souligner l’organisation d’évènements diplomatiques, culturels et sportifs au Sahara marocain, qui symbolisent le rayonnement dont bénéficient les Provinces du Sud sur le plan national et international.
Ces références majeures sont le signe, continuellement renouvelé, de la considération positive par le Secrétaire général des efforts de développement initiés par le Maroc, conformément à la Vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et telles qu’inscrites dans le nouveau modèle de développement pour les Provinces du Sud.
C’est également la réponse cinglante apportée par le Secrétaire général de l’ONU aux mensonges fallacieux véhiculés par les adversaires du Maroc, quant à une prétendue exploitation des ressources naturelles, ainsi que l’absence de bénéfice pour la population de la région, ou encore l’existence d’une soi-disant guerre au Sahara marocain.
Parallèlement, M. Guterres a évoqué, à plusieurs reprises, la situation dramatique dans les camps de Tindouf en Algérie, de même que la misère et la précarité que vivent les populations séquestrées, qui demeurent privées de leurs droits les plus élémentaires.

