Abstrait Dix-sept pays équatoriaux et de l’hémisphère Sud ont été étudiés (Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Afrique du Sud, Suriname, Thaïlande, Uruguay), qui représentent 9,10 % de la population mondiale, 10,3 % des injections mondiales de COVID-19 (taux de vaccination de 1,91 injections par personne, tous âges), pratiquement tous les cas de COVID-19 type de vaccin et fabricant, et couvre 4 continents.
Je sais, les chiffres sont si énormes que cela dépasse l’entendement pour beaucoup. Mais n’oubliez pas qu’il y a une surmortalité énorme dans les pays qui ont massivement vaccinés, qui n’existe pas dans ceux qui ne l’ont pas fait. Les médias aux ordres cachent cela, donc monsieur et madame “tout le monde qui regarde les médias”, l’ignore.
Mais pour ceux que cela intéresse, une étude portant sur 17 pays a révélé un « lien de causalité certain » entre les pics de mortalité toutes causes confondues et le déploiement rapide des vaccins et des rappels contre le COVID-19.
Ils ont également constaté que les 17 pays, qui représentent 10,3 % de la population mondiale, ont connu une augmentation sans précédent de la mortalité toutes causes confondues, qui correspondait directement aux déploiements de vaccins et de rappels.
Grâce à une analyse statistique des données de mortalité, les auteurs ont calculé que le risque de toxicité mortelle par injection augmentait de manière significative avec l’âge, mais atteignait en moyenne 1 décès pour 800 injections, tous âges et tous pays confondus.
Selon ce calcul, avec 13,5 milliards d’injections administrées jusqu’au 2 septembre 2023, les chercheurs ont estimé qu’il y a eu 17 millions de décès dus à la vaccination contre le COVID-19 (± 500 000) dans le monde après le déploiement du vaccin..suite.
Denis G. Rancourt,1, * Ph. D. ; Marine Baudin,2 PhD ; Joseph Hickey,1 PhJérémie Mercier,2 PhD