Dans le contexte actuel, marqué par une hausse des accusations de viol ou de harcèlement sexuel au sein des couples, ainsi que par la saturation des tribunaux en raison de litiges conjugaux, une solution novatrice émerge. Les villes et les services de police créent des unités spéciales pour accompagner les personnes concernées et résoudre les problèmes avant qu’ils n’atteignent les tribunaux
Dans cette optique préventive, l’idée d’établir un secrétariat d’État dédié au consentement sexuel entre les partenaires, rattaché au Ministère de la Justice ou de la Sécurité publique, prend forme. Le processus consisterait à créer un compte en ligne pour exprimer les désirs sexuels de chaque individu sur le site du secrétariat
Ainsi, lorsqu’un conjoint manifeste son désir sexuel pour la soirée, l’autre conjoint doit confirmer son accord. Dès qu’un partenaire enregistre ce souhait, l’autre reçoit automatiquement une alerte “SEXTO” l’informant de la démarche de son conjoint
Cette approche préventive permet non seulement d’instaurer une communication transparente entre les partenaires, mais elle contribue également à apaiser les relations sexuelles en réduisant le risque d’accusations d’agression sexuelle. Cette atmosphère de confiance favorise la productivité et le bien-être, réduisant ainsi les tensions, le stress, les disputes conjugales, et par conséquent, allégeant la charge des tribunaux. Une formule gagnant-gagnant pour une meilleure qualité de vie et des économies significatives pour les services de police, les médiateurs, et autres entités gouvernementales
